Shogoro Uemura

Fondateur et Dirigeant de Iyashi Dôme

UN HÉRITAGE EXIGEANT

L’excellence du Japon en matière de cosmétique et de technologie n’est plus à prouver. C’est un atout car gage de sérieux mais, c’est en même temps un défi car on se doit d’être aligné et à la hauteur de l’enjeu. L’héritage est complexe à recevoir et à promouvoir internationalement.

Heureusement, ces valeurs font partie de l’ADN de Shogoro Uemura. Le principe de la chaleur curative fait partie de la culture du bien-être japonais depuis des siècles et le dôme à infrarouges longs existait déjà depuis des années au Pays du Soleil Levant. Shogoro Uemura l’a fait évoluer, évidemment, et l’a adapté, mais les racines de cette technologie sont japonaises.

Par ailleurs, son père, thérapeute, était un homme exigeant sur le plan de l’intégrité et de l’excellence, et Shogoro a pratiqué les arts martiaux depuis l’âge de cinq ans. La fréquentation des tatamis est très formatrice sur le plan de la rigueur et du respect de la tradition. Avec ces éléments de base, on comprend mieux la démarche de construction et d’évolution du sauna japonais Iyashi Dôme.

LE PARCOURS D’UN HOMME LIBRE ET INTUITIF

Il est toujours passionnant de tenter de discerner en quoi l’enfance et la jeunesse ont semé les graines du développement futur et de la réussite. Cela permet de mieux comprendre le tempérament de quelqu’un mais aussi comment la vie lui a offert les opportunités qu’il a saisies ou non.

En ce qui concerne Shogoro Uemura, il n’a pas eu un parcours de «premier de la classe». Pourquoi ? Parce qu’il a souvent choisi la liberté et l’affirmation de ce qu’il sentait plutôt que de rentrer dans un cadre trop restrictif.

Enfance parisienne, pensionnaire dans un lycée international avec un désir de faire des études scientifiques, il a tout quitté pour vivre très jeune sans les contraintes qui auraient bridé son potentiel créateur. Très jeune, il a créé ses premières sociétés de diagnostic immobilier. Jusqu’au jour où, discutant avec son père, il découvre le principe des vertus des infrarouges longs au Japon. Il décide de faire le voyage pour aller explorer sur place…

UN VOYAGE DÉTERMINANT AU JAPON

Au cours de ce voyage dans le pays de ses racines, il fait connaissance de l’usage de la chaleur thérapeutique.
En effet, il existe depuis plus de 300 ans des cures traditionnelles de purification nommées «Suna Ryoho» où les Japonais ont coutume de s’enterrer dans un sable proche de sources d’eaux chaudes. Cela provoquait une sudation qui éliminait les toxines et purifiait le corps. La chaleur était donc diffusée par le soleil à travers un sable aux propriétés particulières. C’est cette coutume qui a inspiré Shogoro Uemura qui en a adapté le principe par le biais d’une technologie. La rencontre avec des chercheurs scientifiques fut féconde : les Japonais ont développé des méthodes de détoxination car ils ont été confrontés plusieurs fois à la radioactivité sans parler du stress oxydatif dû à un environnement pollué et un quotidien de surmenage et de pression.

Shogoro, intuitif, laisse germer l’idée et saisit l’opportunité de développer une technologie qui s’appuie sur ces recherches dans le projet d’une régénération cellulaire, d’une stimulation du métabolisme. C’était décidé, il ferait un appareil qui serait bon pour la santé, la minceur, le bien-être, l’anti-âge et la détox. C’était parti pour l’aventure.
Iyashi Dôme est né de ce voyage-là au Japon.

C’était en mai 2004, lui et toute sa famille, son oncle, un cousin, son père et un autre associé japonais ont rejoint le projet et tout a démarré. Les bases de la technologie existaient déjà car beaucoup de recherches avaient été faites. Il s’agissait de potentialiser le concept, de créer le design… Puis, Shogoro a ajouté plusieurs technologies pour créer un concept holistique, dont le catalyseur, afin d’éliminer les problèmes de toxines.

LES ÉTUDES SCIENTIFIQUES

Le Iyashi Dôme présentait plusieurs allégations dans les domaines de la minceur, de la transformation métabolique.
L’infrathérapie agit sur la détox des métaux lourds et des toxines, la minceur, le sommeil, le vieillissement cutané, la préparation et la récupération musculaire. Ce qui signifie que le Iyashi Dôme peut être utilisé dans les domaines de la santé, de la beauté, du sport, du bienêtre (spas, thalassos, thermalisme) et des particuliers pour un art de vivre personnel.

Affirmer cela de sa propre autorité est toujours possible et parfois le public y croit. Mais telle n’est pas l’éthique de Shogoro Uemura. Il s’appuie sur des preuves. Au fur et à mesure, il fait faire des études scientifiques, afin d’asseoir les allégations par des essais. Il lance des essais sur l’amincissement, sur la détox en mesurant les résultats.

L’anti-âge est venu dans un troisième temps, y compris au niveau du visage. Il a prouvé les effets au niveau de la peau. C’est ainsi qu’il y a eu des publications scientifiques qui sont toutes accessibles sur son site parce que tout a été mesuré. Toute allégation s’appuie sur des études cliniques.

C’est ainsi que Shogoro a créé l’ensemble du concept Iyashi Dôme en 2004. La technologie vient du Japon et tout le reste a évolué au fil du temps. Actuellement, il s’agit de la cinquième génération.

«Le Iyashi Dôme est vraiment thérapeutique mais je ne peux m’en vanter. C’est la loi en France. On ne mélange pas le médical et le bien-être. La seule chose que je puisse dire, c’est que des médecins l’achètent pour leurs traitements, avec de vrais protocoles médicaux dont nous ne parlons pas. Je suis heureux et fier de diffuser un produit comme ça» explique Shogoro.

SHOGORO, L’HOMME QUI AFFIRME LA DIMENSION HOLISTIQUE

Créer un appareil de soin est utile, d’autant plus lorsqu’il apporte des résultats tangibles. Mais la vision de Shogoro Uemura se devait d’être holistique.
L’expérience du Iyashi Dôme devait obligatoirement nourrir le corps et l’esprit. Il a cherché avec exigence les apports polysensoriels et glamour qui produiraient cette dimension holistique.

– Tout d’abord, il s’est centré sur la respiration et a ajouté un accessoire qui diffuse un air enrichi en oxygène avec des huiles essentielles bio.
– Ensuite le son : il a intégré une diffusion qui peut se faire par des enceintes d’un bain de son de fréquences entre 400 Hz et 1 000 Hz.
– Pour le toucher, il a sélectionné le linge DreamSoft de RKF, le summum de la douceur, ainsi que des oshiboris frais et parfumés au thé blanc pour se rafraîchir.
– Restait le goût et ce sont les Osojis détox ou relax, des hydrolats conçus par Sevessence et que les clients peuvent déguster sur place ou acheter pour en faire une cure au quotidien.

L’idée étant toujours de promouvoir un concept global.